Après une dizaine d'essaie (ça prends-tu un “s”?), mon mot de passe a fonctionné... je l'ai finalement retrouvé! Je peux bien tenter de faire à mon tour, un petit post. Malgré le fait que je n'ai pas grand chose (“grand” et “chose”, ça prends-tu des “s”?... okay, j'arrête, j'suis quand même pas à un concours d'orthographe... *rire*) de nouveau à signaler. Cassandre est toujours en Espagne, elle revient à la fin du mois de juin, avec une amie de là-bas... donc, cet été, je vais héberger une jeune fille qui comprend uniquement l'espagnol :) Pour ma part, j'ai toujours le même emploi. Également toujours la même manie: je fume, j'arrête, je fume, j'arrête et on and on... Sûrement mon seul défaut, donc, faut être indulgent avec moi ;) À part ça, la seule nouveauté... je suis en amour! Comme c'est la première fois que ça m'arrive, je fais des affaires bizarres... comme prendre des photos, en faisant des trucs d'adolescents (une photo à l'appuie)... et d'autres sortes de trucs que la décence m'empêche de détailler (et surtout de vous montrer)! Bon, je plaisante (à demi) sur ce dernier point...

Mon retour à l'adolescence! J'avais jamais pensé que je ferais ÇA un jour, wow! Et c'est pas ma chambre! ...Et j'ai pris 10 livres cet hiver!

Au début du mois, j'ai réussi à tenir dix jours sans fumer, mais bon... ... Et aussi, je souffre un peu d'insomnie dernièrement, donc, faut pas trop se fier à mes yeux là-dessus!
Je ne sais même pas si il y a encore du monde qui passe dans le coin...

Si quelqu'un passe, je lui donne une grosse bise *muah*!
Si personne passe, je me donne une grosse bise *muah*!
Ouais, c'est une tentative de *muah*... faut dire que j'avais jamais embrassé une webcam avant le mois passé :) et que ça faisait deux ans que je n'avais pas pris de photos de myself en plus... L'ajustement des couleurs, contrastes et compagnie est pas fameux! ... Pas terrible en fin de compte cette bise! Mais c'est l'intention qui compte, so, *muah*... ♥... and Ciao!!!
43 commentaires:
Allo Nancy!!!
Tu me fait rire!!!
Ça commence bien ma journée.
La vie est belle!!!
Merci pour les nouvelles, je vais essayer d`en faire autant...
J'aurais jamais pensé qu'on me répondrait en dedans de 24 heures!!! Je passais, par curiosité... pis wow, te voilà!
Tant mieux si je t'ai fait rire ma belle Nancy :) Tu aurais ri deux fois plus si j'avais publié mes autres pics de tentative de *muah*... sur celle-ci, j'ai plus l'air de quelqu'un qui s'apprête à recracher sa gorgée de café... sur les autres, j'ai l'air de m'être ébouillanté avec en plus :)
... et c'est vrai que la vie est belle, tu as bien raison!
Tu vois, présentement c'est tout gris dehors, et je m'en fous... parce que je viens de te lire et tu as mis du soleil dans ma journée!
Alors, c'est toi qui a hérité de la grosse et pas terrible bise ? *rire*
...
Les trois p'tits points, c'est pour tester mon mot de passe... Ça marche!!! Ça marche!!! Ça marche!!! Yaaou!!
Content de voir qui a du monde icitte... vous m'avez manqué gang de pitonneux... Il est possible de changer le titre pour RETROUVAILLE 1987-2009???
Je ne sais même plus quoi écrire tellement j'arrive plus à m'exprimer... depuis le temps!!! J'ai l'impression de bégailler sur les touches... d'écrire que des futilités... ou des niaiseries... pas certain encore??? LOL
Madame Paquin... vous êtes sublime en amour... avec vos belle cuisses et votre affectuosité de «muah»... Rrrrrrrrrrrrr.... L'amour... l'amour... l'amour, ce que ça peut faire parfois... Rrrrrrrrrrrrrrrr...
Vous m'avez manqué vous et bien d'autres... je ne m'exprime plus... l'abstinence la plus totale... L'imagination demeure visuelle, en latence... J'observe derrière les yeux clos de ma tendre mémoire... Ces souvenirs impérissables...
Bon oK... assez parlé de cette intériorité perpétuelle... votre joie, ce bonheur contagieux m'atteint directement...
Je reviendrais... je reviendrais... chère brigadière... je ferais le cinquième dindon s'il le faut... et je metterais ma queue en éventaille s'il me reste de la fierté volatile...
Quoi d'autre pour essayer de vous chatouiller de ma plume... entre deux cigarettes...
Arrête!!! Arrête!!! Que je me dis... laisse de la place aux autres... Ok!!!
À plus... ou un autre moment... momentannément...
Smack!!! Tiens, à toi le silence!
Et bonjour madame Dion!!! Merci à vous aussi pour votre photos...
Bye!!!
Je croyais pouvoir vous répondre ce soir cher monsieur Drouin, malheureusement la notion du temps m'ayant quelque peu échappé, je me dois de remettre ça à demain. Pour l'instant, je vais donc devoir me contenter d'apporter dans mon esprit vos si généreux mots... en espérant stimuler mon imagination, en attente de l'arrivée bienfaitrice de Morphée.
Bien entendu, je parle de la partie de mon imagination relative à mon vocabulaire!
Bonne nuit! ...et n'oubliez point mon cher ami, que ce n'est que partie remise!
Gggrrrrrrr!
Mauvaise idée que de dire la signification de “trois petits points” monsieur Drouin. Puisque sans leur signification, l'imagination se met en branle...
On peut ainsi imaginer les plus exquises idées, comme les plus... comment dire? ... Inconcevables? Inconvenables? Mais si celles-ci me conviennent, peut-on parler d'inconvenance? Et si je les conçoit parfaitement, peut-on parler d'inconcevabilité? ...!
Vous n'avez pas idée à quel point, ou à quel “trois petits points”, vous m'avez manqué mon cher ami. Me voilà comblé de vous voir finalement sortir de votre trop longue période d'abstinence la plus totale. J'espère que nous aurons désormais droit à l'abondance de la part de votre généreuse personne. Adieu disette! Je me sens soudainement affamée, douce famine que j'apaise donc en me gavant de vos magnifiques mots. J'ai faim! J'ai faim! J'en veux encore! Mais où est donc le dessert?... En latence? J'espère que ce n'est point la nouvelle rondeur de mes cuisses qui vous fait hésiter. Je vous assure, je saurai être raisonable, et laisserai “trois petits points” entre chaque gorgée, chaque bouchée... Lentement, savourant à satiété, chacune de vos délicieuses paroles. J'ai si faim!
Gggrrrrrrr!
Ah! Suis-je sublime qu'uniquement en amour? ;)
À voir le piètre résultat de la capture de mon baiser, j'ai, pour ma part, malheureusement l'impression qu'une longue (et périlleuse?) route m'attend avant de pénétrer dans le somptueux palais de la sublimité. Ou de la subtilité, c'est selon. Oh! Je viens de ce fait d'avouer que cette “grosse et pas terrible bise” a été conçue initialement pour la même raison que ce qui me fait tenir une feuille de cartable, largement peinte, entre les mains! Mais étant de nature généreuse, tout comme vous mon cher, j'ai décidé de partager cette “bise d'amour” avec vous tous!
Ah, vous reviendrez? Même réincarné en dindon s'il le faut? Ça chatouillent des plumes... spécialement la vôtre. Pour ce qui est de mettre votre queue en éventail mon bon ami, mais faites donc, faites donc... que je puisses de nouveau admirer votre fierté dans toute sa splendeur. Volatile. Fertile. Ou autres.
Cela faisait des lustres que je n'avais pas écrit de cette manière, et de plus, en français! Je vous suis reconnaissante mon cher ami, c'est même à genoux (ça vous rappelle des souvenirs?) que je vous remerçies, vous êtes merveilleux de veiller ainsi sur mes anciennes habitudes héritées de ce bon vieux Molière. Ah, la langue! Quoique l'on puisse faire avec... quel délice!
Y ai-je droit à mon dessert maintenant?
...
Bonne soirée mon cher monsieur Drouin
*muah*
Quel plaisir de te retrouver! Wow!
Merci Michel!!!
Hola Mama...y a toOdo.. =)
Ya lo sé que no entiendes..pero lo sé que vais a utilisar el traductor de todo manera jeje !!
Mama me gusta mucho tu commentario..Estas muy guapa en las fotos !!
Te hecho de menos , muchisimo!!
Y para deciros como es aqui en España, bueno..hay muchas fiestas, y la gente es muy buena !! Muchos amigos !!
jejee
Fin..
Je T'aime maman
I love you mom
Te quiero mami
Ich liebe dich mama
(L) (L) De bébé poussin ! kiss kiss
et un bonjour a tout le monde!!
Vous me prenez aux mots... je ne puis alors résister longtemps... trois petits points ou tout ce que vous arrivez à imaginer... tant qu'à vous délier la langue... et à genou en plus... Hum!!!
Bon d’accord, je m'offre en dessert... quoi que je doute d'être bien sucré!!! Hahahaha!!! Muah!!! Rrrrrrrrrrr...
Voilà, cette sensation fabuleuse de repartir en voyage avec votre générosité comme précieuse compagnie...
Est-ce là mon plus grand fantasme d'économe... écrire... gratos... ça ne coûte à rien pantoute... mais putin de bordel que ça transporte... à la vitesse de la noirceur en plus... comme un éclair... bien plus vite que la pensée...
C'est pourquoi j'oserais préciser; «je l'écris mais je le pense pas...» J'ai pas le temps... c'est bien au-delà de ma petite personne... ça me dépasse sans cesse... ou plutôt j'en perds bien des bouttes... ça va dans tout les sens sans que je n'arrive à suivre... J'y pense... j'y repense... sans bouger le moindre doigt...
J'adore décrire l'insondable imaginaire, en vous sentant à mes côtés... j'adore imaginer revenir chez-moi d'un voyage en train avec vous assise à mes côtés... Je sais que j'invente ou réinvente tout cela d'une certaine façon ou d'une autre manière... mais ça me fais du bien de raconter cela sans le dire à personne... comme si le langage se voilait pour laisser transparaître une certaine réalité qui n'existait même plus... mais survivait plutôt en respirant l'odeur de votre présence disparue... avec le rêve qui glisse encore... encore... et toujours... entre les doigts... si habiles de cette douce maladresse...
Et si elle existait sans qu'on la voit?... Si elle n'avait jamais existé que pour être vu sans se montrer?... et bien ce serait encore plus beau que l'espérance... je suis certain que j'en aurais encore une fois l'impression diffuse d'avoir simplement rêvé... d'avoir ainsi tout inventé sans qu'il n'y reste plus la moindre preuve... et pourtant...
Le souvenir qui se perd reprendre parfois encore plus de force, avant de ne plus jamais s'assombrir... jamais... une mémoire insondable... comme un visage magnifique défiguré au pinceau; sur un mur repeint avec des couleurs décorés d'un agencement des plus chaleureux... que le regard le plus important n'aura jamais eu la moindre occasion d'y jeter un simple coup d'oeil même distrait...
Je glisse... et je glisse sur ma plume de dindon... sans trouve mon envole... je roule sur une bille en essayant de déployer mes ailes... je me regarde sans me voir dans une glace qui ne cesse de fondre à vu d'oeil... cherchant une consistance, tout en m'essoufflant à nager dans les moindres fluides...
Je vogue ainsi à la dérive... de cette oreille qui entend le silence... de ces yeux qui puissent voir la splendeur de la nuit... j'accours vers cette peau détendue qui m'assure dans mes chutes...
Et s'il y avait une dune où faire mon nit... et si il y avait de la paille pour me le tricoter douillet... pour que même les longs hivers me semblent chaudes... Et là, c'est là que j'y inscrirais mes trois p'tits points...
Et là je laisserais la page blanche pour toi qui ne dis rien... je te l'offrirais simplement pour t'entendre encore me dire... elle serait là pour que tu puisses me conter... raconter ta vie... laissant la chance à tes mots d'entendre leur écho dans cette liberté... celle de se partager sans se diviser... se rapprocher... dans une expérience commune et pourtant à la fois si différente et diversifié...
Oui... trois p'tits point pour toi... et que sans retenu que tu puisses te permettre d'imaginer ce que jamais tu n'aurais osée penser... sans plus vraiment t'appartenir... où de déposséder de toi... retrouver cette possibilité d'inventer l'impossible... de réinventer la vie... le monde... à ta façon sans faire de mal à personne...
Se permettre ensemble les plus douces folleries... ;o) Et trois p'tits point... tu es toujours là??? Et bien tant qu'à y être pourquoi pas essayer de nous écrire un p'tit «kekchose»... Y'en que pour le fun... pas plus!!!
Pas si mal pour un dindon voyageur!!! Merci d'être là!!! Muah en passant!!! xx
Je reviendrais à Montréal.... dans un grand Boeing bleu de mer... je veux revoir l'hivers et ses aurores boréal... J'ai besoin de cette lumière venue tout droit du Labrador... et que viennent se poser les anges... les anges bleu, les anges noir... ;o)
Nananinanana!!!
Nanananinanana!!!
Ciao!
Et si plus jamais je ne m'arrêtais... sans cesser de continuer... en roulant ma bosse toujours plus sur des billes... sans plus de friction... en faisant la roulade sans me virer à l'envers... comme en apesanteur...
C'est donc là en quelque sorte... dans les mots partagés... dans cette poésie échangée sans tenir compte de la moindre comparaison...
Et si c'était là... que j'arrivais à prendre mon air d'aller... et enfin sortir de cette incessante méditation nourrissante... pour me relier un peu plus... à ce quelque chose qui attend... à m'offrir entièrement dans cette latence suspendue dans le temps...
Et si comme ça... tout bonnement, je lançais tous ces mots dans les airs.... sans essayer de les rattraper... car, tu sais que ceux que tu me lances, me vont droit au coeur... ceux que tu oses laisser sortir de toi transpercent ma coquille et me touchent comme maintes et maintes caresses...
Est-ce donc cette main volatile tendu vers moi... celle qui me glisse dans les cheveux... celle toute tendre qui me redonne mon enfance et le plaisir de jouer avec les mots... d'entendre le sens des choses... et d'observer sans fin l'invisible devant moi... palper... sentir... et goûter dans l'absence, ta présence toute entière...
Pendant que tu me manque, j'oserais dire sans parler... j'oserais t'écrire sans laisser de trace... pour que s'inscrive encore plus creux... encore plus profondément tout ce que je me garde d'accéder...
Je sais que tu es là... comme le langage qui tremble devant toi... je sens le temps qui te prend avec lui... sans rien m'arracher de toi...
Et combien de fois encore... combien de mot ne seront jamais écrient que pour toi...
Correspondance...
La route se poursuit... comme les chansons jamais fredonnées à l'oreille haletante... Et les histoires qui se racontent comme le sourire d'une mémoire chaleureuse... l'éclat de tes rires jamais entendus...
Correspondance... que pour toi... Trois p'tits points... que pour toi...
Imagine l'indicible...
trois p'tits points...
Je voulais aussi écrire «BONJOUR CASSANDRE!» ;o)
@ Cassandre
¡Hola mi pollito! Gracias por su mensaje!
“Estas muy guapa en las fotos”... Comment ça j'ai l'air d'une guêpe sur mes pics?!! I am kidding! Je te jure, je n'ai même pas eu besoin du translator! ...Parce que j'ai eu l'aide d'un traducteur humain à la place... (merci Éric)!
I know there are “muchas fiestas”, j'ai vu tes vidéos!!! Je suis pas certaine d'aimer TOUT ce que j'ai visionné... ;) Okay, c'est pas SI pire... Mais essaies de revenir en un seul morceau :)))
Je t'aime bébé peanut *muah* *muah* *muah*
@ Michel
Merci Michel...!!! Pour le moment, je suis à court de mots (parce que j'en ai trop!) Ai-je besoin d'ajouter que me voilà de nouveau à genou? Puisque touchée par ta générosité littéraire?
Je me sens capable d'écrire des paragraphes entiers constitués uniquement que de “trois petits points”... !
Honnêtement, j'avais commencé à te répondre... puis, ai censuré une phrase, puis un mot, puis deux autres phrases... Bref, j'ai décidé de remettre ça à plus tard. C'est si difficile de ne pas tomber dans l'indécence! Tes jeux de mots, la façon dont tu tournes tes phrases... ça laisse la porte toute grande ouverte à mon imagination... déjà très fertile :) J'essaies simplement d'entrebâiller cette porte, certains courants d'air peuvent s'avérer fatals... Je ne voudrais pas que tu t'enrhume à cause de moi! Tu vois comme tu m'est précieux, je fais attention à ta santé ;) Ggggrrrrrrrrrrrr!
Bonne soirée monsieur Drouin
Bonne soirée également à ceux qui pourraient passer dans le coin
*mwah*
ouinn...... salut la soeurette
j'adore tes photos ......
différente de toutes les photos de toi ma chère
gros gros bisou
je t'aime
Bon d’accord... si j'étais une censure je m'accrocherais dans le vide et je sucerais... je sucerais... je sucerais.... jusqu'à ce que le néant occulté voit le jour d'un lever de soleil... pour entendre les petits gazouillis littéraires se remettre à chanter... pour délier la langue dans une libre expression… avec ses roucoulement incessant…
Je sucerais des mots... des virgules... et bien d'autres orthographes ponctués... et je recracherais une multitude de petits points tous plus mignons, les uns que les autres... comme un anorexique imaginaire... et tout cela pour passer encore et encore un si simple moment avec toi... et garder intact ce goût de tes mots… fraîchement dans ma bouche…
Je régurgiterais alors mon bonheur pour revoir une fois de plus ce visage expressif tant attendu... celui qui se perd dans le travail... celui qui se cache dans l'inavouable... celui qui sourie de malice libertin... celui qui ne dit rien dans un silence bruyant... celui qui reste muet dans un verbiage incessant... celui qui s’en retourne ainsi dévolu à son quotidien… bouleversé, et même sans s’en rendre compte… emporté par la joie enfantine…
Je continuerais ainsi mon chemin de censure jusqu'à te mettre à l'aise, sans l’audace de montrer à personne le plaisir inavoué de ces douces retrouvailles impromptues... J'oserais déambuler dans les rues qui te portent, tout en ne contemplant que l'ombre de moi-même... J’avancerais alors dans n’importe quelles directions… pour tendre ainsi davantage vers l’infini de nuances qui se réinventent sans cesse…
Pourtant, j'attendrais là, en bordure du trottoir, ces mots qui s'avouent enfin les tiens... ceux qui ne seront jamais prononcés… ceux-là même plus mal habile, jamais formulés... qui trahissent le fond insondable de ta plus virulente pensé... Je me laisserai choir sur ta cuisse comme un itinérant sur un banc de parc... grisé dans ma mémoire, à mendier tes mots silencieux, réservés, contenus… Et plus suave encore… je sucerais… encore et encore… dans une prière machinale…
Et là, sans autre choix, je m'accrocherais plus fort... succionnant à la démesure d’un ingurgitateur entété... je sucerais… et ce jusqu'à ce que blanchisse mes feuilles noircis de griffonnages insensés... je sucerais une désinvolture libératrice… je censucerais la folie pour mieux me remplir de ce vide… pour me réapproprier cet espace qui n’appartient à personne…
J'en perdrais la raison s'il le faut... pour incarner à la douce perfection... ce mouvement de censure... que je marierais devant témoin, en faisant la fête jusqu'aux petites heures de la nuit... simplement pour oublier... simplement... pour ne rien dire… d’une façon inavouable…
Censure... censure... toi qui boit le sang de mes veines... toi qui reste tapis dans la chaire... toi qui me hante jour et nuit... toi qui nage dans une matière grise que le temps emprisonne dans l'oublie... comment dans mes hivers arriver à me distancier de toi… comment délier cette langourosité trop humide collée à un métal refroidi, silencieux; qui me tranche la langue… dans une fluidité naturelle qui se laisse mouiller… tout en ravalant sa salive…
Et vient qu'à passer au hasard de l’insaisissable, une salière sur les routes de glace encore trop enneigées... pour faire fondre… encore et toujours... l'adhérence raisonnable qui continue son chemin dans les sentiers même les plus sinueux... et moi, qui me brûle... et mon âme qui décroche à ta cuisse savoureuse, sans pourtant cesser de se délecter de ton expression la plus tendre...
Et voilà d'où j'attends; me prend l'autobus pour me conduire n'importe où... en d'autre lieu... où de partout je ne cesse d'éprouver cette généreuse reconnaissance... celle-là même qui m'a fait te rencontrer sans te voir... celle-là même qui me fait comprendre tranquillement l'acceptation reconnaissante... celle de penser à toi et de déblatérer bénéfiquement à outrance… sans plus aucune retenue….
Et voilà le philosophe de la censure qui se remet progressivement sur ses pattes... qui même en boitant arrive à remettre un pied devant l'autre... à poursuivre son chemin... jusqu'à une toute prochaine secousse... retrouver le sourire de cette rencontre fortuite mais précieuse…
Je puisse comprendre tout cela... d'une façon encore et toujours bien bizarre... mais c'est sans interrompre se courrant de la vie… d’où inonde cet émerveillement qui me porte… sur un bateau qui dérive sans cesse… que je puise et m’abreuve à l’idée de t’écrire…
Signé; l’autre censure xx
Bonsoir petite sœur!
Je suis contente de te lire :)
Quelle belle journée nous avons eu vendredi dernier...!!! ;) Dis-toi qu'on a finalement réussi à manger ensemble tous les trois *rire*! Il y a toujours du positif dans le négatif... parfois, ça prend quelques heures avant de le réaliser... et/ou quelques dollars ;)
Je t'aime & bise, bise...
Oh Michel!
J'ai fait “l'erreur?” de venir zieuter avant d'aller me coucher... comment vais-je faire pour dormir maintenant??? Belle nuit blanche en perspective... mais qu'est-ce qu'une nuit blanche si tu y fait partie? Partie de plaisir? Vaut-il mieux une partie de plaisir, qu'un plaisir parti (dû à mon dilemne d'auto-censure)?
Je vais méditer là-dessus...
Bonne nuit mon cher monsieur
Et surtout, faites de doux rêves non-censurés
Deux grosses bises à toi, une censurée et l'autre pas... ;)
Je ne voulais tout simplement pas agir de la sorte... j'ai honte aujourd'hui... et je réalise ce mouvement de censure qui me retiend pres de lui comme une mère peut parfois s'accrocher à son tout dernier enfant...
Je m'en revenais vive allure de mon travail... l'esprit vide et la tête dans le vent... sans penser à rien de précis... et comme toujours, ce qui a moins de densité fini toujours par se retrouver à flotter à la surface de mes pensés volatiles...
Je me suis demandé; « Et si je me glissais entièrement dans la peau d'un ou de plusieur personnage???» Et à cette réflexion ma foi plus que banale... j'ai senti la crainte de la perversion venir me hanter comme une teigne...
La trouille... la chienne de donner naissance à des personnages monstrueux, à des être des plus répugniants... et de mon rire malicieux, je me suis délecté de cette rêvasserie...
Je ne suis ainsi jamais vraiment été là... et j'y sens des blocage de ce que le monde puisse en penser... et d'être mal perçu... Ouf!!! Ça me gêne attrocément dans l'impécabilité de ma profonde fierté...
Que fair Louise DesChatellet??? Que faire Janette Bertrabd??? Mes amis osent plus m'écrire... il n'y a plus une correspondance qui ne tienne... J'ai vraiment tout essayé...
S.V.P. Help!!! ;o) LOL
Laissé moi vos commentaires au plus vite, avant que je ne manque d'inspiration... Please!!!
Qui en aille pas un ou une qui m'encourage... je risquerais de dépasser la limite du déraisonnable... comme un fauve en cage... ça me brûle!!!
A+
Laisse-moi un peu de temps mon cher fauve, et je vais aller te rejoindre dans ta cage... t'aider à te débarasser de tout ce qui te “brûle”... ;)
Je me demande tout ce que ça peut faire deux lions dans une cage... ?
...Gggrrrrrrrrrrr!!!
lol... *muah*
Cher monsieur Drouin, ou le fauve si vous préféré
Vous me trouvez à présent toute ébahie d'être ainsi mise devant la (presque?) totalité de votre délicieux et varié menu, puisque ayant écrit “dessert” au singulier lors de mon lointain passage en ce lieu, je ne m'attendais point à cette orgie de saveurs! Ô, sublimes tentations! Ô tentations subliminales! Ah, mais quel dilemne aussi, que faire? Que choisir? Le menu est si vaste... J'avoues en toute honnêteté (et sans honte?) que certaines de vos phrases ont su activer mes papilles gustatives de façon assez... [je vous laisse le choix des mots]! Ggggrrrrrrrr!!! C'est bon!!! C'est tellement bon tout ce qui ressort de votre inépuisable génie! Mon cher ami, je vous bois, je vous mange... je vous ingurgite en entier... sans me goinfrer, préférant faire durer le plaisir... je vous laisse doucement pénétrer en moi... je vous laisse inflitrer chacune des fibres de mon corps... je vous absorbe jusqu'à satiété... Satiété?!! Rassasiement?!! Moi rassasiée de vous? Oh, mais comment cela pourrait-il être? J'ai toujours faim quand il s'agit de votre charmante personne... toujours! Je suis littérairement suspendue à vos lèvres, littéralement attachée à vous! Quelle généreuse idée aussi que de vous offrir ainsi?! Les écrits restent vous savez, sucrés ou non, les mots demeurent, ils pénètrent l'esprit de la personne qui les lit... et risquent de s'y imprimer à jamais. Me voilà donc toute imprégnée de vous à présent... et à jamais?! Et, puisque je suis encore (et à jamais?) à genou devant vous, j'en profite donc pour vous remercier...
...En preuve de mon éternelle reconnaissance, j'ai pris la décision de me relever de ma posture favorite devant vous, l'agenouillement (je ne voudrais pas me plaindre, mais mes genoux crient au secours!), et... de finalement sauter! Et oui, je saute dans le vide!!! Les pieds joints, ou à genou si vous y tenez réellement... c'est comme vous le voulez... qu'importe la manière, je saute avec vous. C'est qu'elle est diablement tentante cette vacuité! Je succombe, je ne peux plus résister, résister à l'attrait de vos mots, résister à cette satanée tentation que vous me me faites miroiter sous les yeux. J'ai grands espoirs que vous m'y attendez dans cette incommensurable, délectable... (et incensurable?) vacuité... pour l'emplir de nos rugissements... pour l'abreuver de nos deux âmes, si assoiffées de mots... pour la combler, entièrement, par notre imagination mise en partage, notre imagination tellement avide... avide de...? La vôtre, je ne saurai dire, la mienne, je ne saurai que trop dire ;) De plus mon cher ami, sachez que je saute les yeux grands ouverts, pour ne rien manquer de l'extase que me procurent vos habiles mains, lorsque mises en présence d'un clavier. Je saute les yeux grands ouverts mais je vous implores de fermer les vôtres si quelques propos de ma part vous paraîssent un peu indécents. Vous savez, vous m'inspirez... !!! Ah oui! c'est ça... Inspirez-moi! ... Inspirez-moi jusqu'à ce que je perdres le respire! Inspirez-moi et aidez-moi a aspirer ma propre censure! ...Et censurez-moi si vous croyez que je dépasse les limites de la simple inspiration. Je suis toute à vous monsieur Drouin, vous pouvez m'inspirer, me respirer, m'aspirer! Faites ce que bon vous semble de ma personne, mais de grâce, n'arrêtez jamais d'écrire! Quelle perte ce serait!
Alors monsieur le fauve, voulez-vous toujours de moi dans votre cage? Je fais quoi de cette clé? Je la jette au loin? ... puis je me jette déraisonablement sur vous?!! Gggrrrrrrrrrrrrrrr!!! ...Je vous fais peur peut-être? Vous préféreriez sortir de cette cage? Vous la voulez cette clé? Cette clé que j'ai si, indécemment, bien caché? ... Ah! si vous la voulez, il vous faut venir la chercher... Fouillez-moi! Dépouillez-moi! Ah mon cher ami, je suis même prête à jouer, j'adore jouer... qu'est-ce que je donnerais pour jouer avec vous... Ah oui! Jouons!!! Vous la voulez cette clé? ... “tu gèles, tu gèles encore... hum, tu chauffes, tu chauffes ...non, tu gèles... ah, oui! là tu chauffes... tu chauffes! ... ah! tu brûles, ah oui, tu brûles... tu brûles...ah!... ah! mais je brûle, c'est moi qui brûle maintenant!!!”
Avez-vous cru que j'abdiquerais aussi facilement? Que je serais assez cruelle pour vous abandonner, du à un problème de censure? Vous voyez, je suis encore là :) J'avoues que je vais tout de même “me garder une petite gêne”... pour l'instant ;)
Voulez-vous encore jouer avec moi?
;)
*muah*
Wow!!!
Je ne sais que dire de plus... je me sens bien peu locace aujourd'hui... ;o) Mais non!!! C'est une farce... car là je dois dire que vous venez de me rendre la balle en plein dans le mille...
J'entends généreusement dans votre réponse l'écho de ma prérogative fort satisfaite... Quelle érection vous me faites!!! Vous savez monter la barre d'un cran pour me pousser à écrire en lestant du courage, de la douce folie et y aller pleinne voile droit devant avec le cap bien dur dans l'imaginaire... ;o) LOL
Fuck la censure!!! Ce n'est pas moi qui vous mettras des batons dans les roues... J'aime trop avec vous déployer tout ce que j'ai de maladresse diplomatique... où je prends ainsi plaisir d'user insinueusement de délicatesses pernicieuses... en esseyant de vous y inciter contre votre grée...
LOL...
J'aimerais tellement faire naître un de ces personnage que l'on déteste en l'adorant à la fois... tout en poussant dans la caricature langagière...
Mais de sentir votre présence, ça m'excite littéralement... j'ai le goût de jouer avec vous... j'ai le goût de me laisser aller... vous savez tellement bien me mettre à l'aise... Vous me donner le goût d'inventer...
Là, je suis trop excité... et sachez que je pense à vous... j'aimerais tant arriver à vous surprendre... et vous entendre rire... sentir votre joie si vaste et communicative me remplir encore... encore... et encore...
Je mets pour ainsi dire mon crayon entre vos mains mythologiquement si habile et créative... Je m'ouvre à ces plaisirs que vous puissiez m'offrir encore... encore... et encore...
Merci... merci... merci...
Si je m'arrêtais... si je m'assoyais... si je fermais les yeux... Hum!!!
Ok! Je te fais confiance... ;o) J'aime la sensation... j'adore ta présence silencieuse... attentionnée… pleine de douceur…
Juste me laisser écrire sans penser… juste laisser sortir ce qui monte… juste clapotiner pour le simple plaisir… avec toute la délicatesse du doigté…
Quelle douce sensation… comme si je m’apprêtais à faire quelque chose de complètement nouveau… Je me sens tellement naïf… mais c’est un effet magnifique… excitant!!!
Le vide… le plus fabuleux… tu me mets tellement à l’aise… ;o) encore… une grande et profonde respiration… ça vient… ça monte… Hum!!!
Est-ce d'avoir reçu une balle en plein dans le mille qui vous rend soudainement si peu loquace mon cher fauve? Vous savez, lors de mon dernier voyage mythologique, j'ai rencontré en chemin mon bon ami Cupidon, et ce cher amour a gentiment offert de me donner quelques cours sur l'art de viser en plein dans le mille. J'avoues que c'est munie de flèches que j'ai appris cet art, Cupidon oblige, mais flèches, balles, mots à double-sens... tout est permis quand vient le temps de bien saisir la proie... et quelle superbe proie vous êtes monsieur! Mais puisque vous précisez que votre problème de loquacité n'est qu'une farce, et vous faites bien de le spécifier, votre charmante personne est hors de danger... pour le moment ;) Aucune tentative de ciblage en plein dans le mille ne vous sera faite de ma part... quoiques quelques pouces plus bas que dans le mille... (Ah! Le drôle de petit être assis sur mon épaule, celui habillé de blanc et portant une auréole, me dit de changer de paragraphe... et de sujet... au plus sacrant!)
“Quelle érection vous me faites!!!”, “le cap bien dur”... (ah ah ah!!! Le petit être blanc s'est fait avoir!... et le petit être rouge, perché sur mon autre épaule, celui arborant cornes, sabots et fourche, semble lubriquement heureux!)... Monsieur Drouin, vous ne m'aidez pas avec ce genres de termes. En les voyant, un magnifique sourire diabolique s'est accroché à mes lèvres, mes yeux ont malicieusement changé d'éclat, et m'est venu tout de suite dans l'esprit mille et une idées... suivies aussitôt par trois milles et trois petits points... !!!
Oh, oui! Faites-moi la grâce de continuez à naviguer à pleine voile, armé de votre courage et revêtue de votre douce folie... et qu'ainsi, j'ai la prérogative de vous faire écho! Laissons nos voix se rencontrer, s'entrelacer, se taquiner... s'amadouer! Et si vous manquez de courage au cours du périple, je laisserai mon écho vous insuffler la force nécessaire à votre survie littéraire. De plus, si la navigation s'avère être trop tanguante, quittons le navire et plongeons têtes premières dans ce vaste et magnifique océan imaginaire! Sauteriez-vous avec moi?
Vous ne voulez point me mettre des bâtons dans les roues? Quels types de bâtons s'agit-il? Vous savez, dépendamment du type de bâton utilisé... je ne vois pas là matière à objections, surtout de ma part plus que consentante! Sérieusement mon cher ami, peut-être que cela me ferait du bien que l'on m'oblige à freiner quelques unes de mes roues, spécialement celle de mon esprit, mon esprit mal tourné!!! Cette roue tourne de façon fort indécente lorsque mise en votre présence! Ah! mais y aurait-il un bâton pris dans la roue de mon esprit, et c'est la raison pour laquelle mon esprit déraille?
...suite dans 5 secondes ;)
Ah!!! Alors c'est oui?!! Vous voulez bien jouer avec moi?!!... Je continues à brûler juste à y penser...! “Ah, docteur Drouin, je me sens toute chose, j'ai la fièvre, je brûle...! Touchez-moi ici, voyez comme c'est chaud... oh!... et là... oh oui, là!!! Sentez comme je brûle! ...et ici, j'ai une sensation étrange... Vous voulez bien m'examiner docteur?”... Jouer au docteur? Ah! l'idée est exquise... mais beaucoup trop facile, j'en conviens. Vous avez une idée de jeu peut-être? Ah, les jeux de mots?!! C'est si excitant de jouer avec les mots... oh oui! excitons-nous mutuellement et jouissons des mots ensemble! Les mots, quel pouvoir! Sans sens, à double-sens, cent sens, sans dessus dessous... et que dire des “trois petits points”, placés ici et là?... le sens que je leur donne allume mes sens!!! ...Littéralement excitant!
“Là, je suis trop excité... et sachez que je pense à vous... j'aimerais tant arriver à vous surprendre”... C'est fait! Je suis surprise!!! ... *rire* !!!
Pour ce qui est de mettre votre crayon entre mes mains... (notez ici que je dois me faire violence pour ne point me perdre, encore une autre fois, dans l'indécente luxure littéraire! Surtout que mon petit complice rouge, perché sur mon épaule, me souffle de pernicieux mots à l'oreille en cet instant) ... à propos de votre crayon, au nombre de mots, de “trois petits points”, de phrases écrites, et parfois censurées, que je vous écris... N'avez-vous point pensé à l'usage excessif que je risquerais d'en faire? Peur que je le vide jusqu'à sa dernière goutte? C'est dangereux de me laisser ainsi disposer de votre précieuse encre! Je n'ose! Je n'ose! Excepté, bien sûr, si vous y tenez vraiment... dans ce délicieux cas, je pourrais me sacrifier, et mes mains, habilement créatives, je vous offrirai!
Alors, vous vous ouvrez entièrement aux plaisirs que je vous offre?
Êtes-vous pleinement conscient de toutes les conséquences pouvant résulter par cette affirmation de votre part? ... !
C'est moi qui vous remercies monsieur Drouin. J'ai vraiment beaucoup de plaisir à échanger avec vous! Je ne trouve pas les mots pour décrire la joie immense que je ressens de vous avoir enfin retrouvé. Mais comment ai-je pu survivre des mois sans votre exquise correspondance?!! Mystère! Mes pauvres doigts, ankylosés après tant de mois d'oisiveté, commencent tranquillement à retrouver leur ancienne vigueur! Vous m'inspirez totalement mon cher... et ce, jusqu'au bout des doigts!
Ggggrrrrrrrrrrrrrrr (wouf wouf???!!!) ... *lol*
Je reviens te chercher... car je sais que tu m'attendais... je ne peux me passer de toi...
Grrrrrrrrrrrr... ;o) LOL
Merci pour ton message... histoire à suivre...
wow beaucoup de mots dans si peu d'espace loll
Et oui soeurette vendredi était de toute beauté mais pas trop de dépense dans les magasins en tout les cas hihihi et j'ai trouvé mes 4 flasher
gros gros bisous a bientot
Il y a de l'école demain belle brigadière?? ;o)
@ ma p'tite sœur: On n'a pas trop dépensé dans les magasins ce jour-là parce que nous avons été FREINÉ dans notre magasinage... Bizzxxx
@ “mononcle” Drouin
Pour toi, l’école buissonnière...
Avec toi, l'école de la vie...
... ;)
Envoyes sur les genoux à mononcle!!! LOL
Ça l'air que je suis trop bien sur les genoux de mononcle Michel... j'en perds mes idées! (bon, faut s'entendre sur le sens que je donne à “idées” dans ce cas-ci)...
Je suis en panne d'inspiration!
Mais c'est momentané, t'inquiètes pas :)
...tu étais inquiet? ;)
Bonjour belle brigadière... pane d'inspiration ou fatigue??? Hum!!! Surmenage!!!
Je pense à toi...
J'y pense... trois p'tits points!!! ;o)
Bonjour belle brigadière!!!
Comment était votre journée??? ;o)
Grrrrrrrrrrrrr... ;o)
Comment était ma journée? Ensoleillée, finalement!
Et pour mon absence des derniers jours... peut-être que je continue à m'imaginer sur les genoux de mononcle... et c'est pourquoi des idées décemment publiables, je n'en ai plus aucunes?!
HELP!
Vous entendez mon cri de détresse cher monsieur Drouin?... Ah! j'oubliais, vous préférez les rugissements ;)
Ggggrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!!!
...
*muah*
Ah! Où est passé mon savoir-vivre?
J'ai oublié de te demander comment était ta journée à toi... ! Habituellement, quand on nous demande comment était la journée, la politesse exige qu'on pose la question à notre tour ensuite, non?
Tu vois à quel point mes cellules grises sont inactives en ce moment? Ah, misère!
Donc, dis-moi plutôt comment fût ta nuit... et on est quitte... *rire*
Et je veux des détails!
Bonne nuit cher fauve!
Hum!!!
Savoir vivre... sans trop se prendre dans le protocolaire!!! Hum!!!
Vous madame éprise de limitation... courtisant la retenue... envouté par la censure... de sorte à ne plus émettre le moindre mot...
Hum!!!
Et vous aimeriez que je vous entretienne sur ma nuit... celle toute suave... dégoulinante... haletante à souhait... ronflottante... gémissante à rêver... celle où au réveille mon oreillé s'en trouvé mouillé de ma bouche trop longuement entrouverte...
Grrrrrrrrrrrrrrrr...
J'ai encore les yeux collés du bien-être de vos lectures généreuse... tout rêvassant... j'en reste imprégné de ces effluves apaisants de douceur... et de ce désir littéraire contagieux...
Que de plaisirs que de vous avoir retrouvé... de vous sentir hésitante... j'adore chaque fois vous lire dans vos plus simple libertés... quel univers si riche et si vaste à la fois...
merci... et le temps vous est offect en respect de vos limites amovibles... et que votre création sorte au grand air... quelle ne cesse de se déployer naturellement avec cette générosité communicative...
Belle brigadière sans frontière... xx
Hum!!!
Savoir vivre... sans trop se prendre dans le protocolaire!!! Hum!!!
Vous madame éprise de limitation... courtisant la retenue... envouté par la censure... de sorte à ne plus émettre le moindre mot...
Hum!!!
Et vous aimeriez que je vous entretienne sur ma nuit... celle toute suave... dégoulinante... haletante à souhait... ronflottante... gémissante à rêver... celle où au réveille mon oreillé s'en trouvé mouillé de ma bouche trop longuement entrouverte...
Grrrrrrrrrrrrrrrr...
J'ai encore les yeux collés du bien-être de vos lectures généreuse... tout rêvassant... j'en reste imprégné de ces effluves apaisants de douceur... et de ce désir littéraire contagieux...
Que de plaisirs que de vous avoir retrouvé... de vous sentir hésitante... j'adore chaque fois vous lire dans vos plus simple libertés... quel univers si riche et si vaste à la fois...
merci... et le temps vous est offect en respect de vos limites amovibles... et que votre création sorte au grand air... quelle ne cesse de se déployer naturellement avec cette générosité communicative...
Belle brigadière sans frontière... xx
J'ai préféré vous écrire deux fois plutot qu'une... J'étais si excité que j'ai touché le bouton deux fois.... Oups!!
Encore... LOL
Ah! monsieur! Si vous saviez l'effort qu'il me faut faire lorsque vient le temps de vous répondre, puisque chaque fois, suite à la lecture de vos enivrants écrits, le chaos s'empare de moi; mon cœur s'agite, mon âme s'embrase, mes sens se réveillent, mon esprit phantasme... (docteur, examinez-moi ;)) !!! Vos paroles sont d'habiles flèches, divinement empoisonnées, elles m'atteignent dans leur totalité, dans ma totalité; cœur, âme, sens et esprit... mon être tout entier se retrouve transpercé... (docteur, là c'est grave, “je saigne”, examinez-moi ;))!!!
Sachez que ce n'est point de la limite dont je suis éprise, ni la retenue que je courtise et encore moins la censure qui m'envoûte...
... ;)
Quant à émettre ou pas... ou peu... de mots, rassurez-vous, ce n'est point les idées qui me manquent (au contraire)! Hélas! je dois d'abord faire le tri de celles-ci, protocole exige.
Je vous suis reconnaissante de votre exquise description quant à votre suave nuit. Ah! la bienheureuse oreiller! Je suis jalouse! Puis, lisant que vos yeux demeurent clos, collés par le bien-être, je me félicite de ma généreuse auto-censure à votre égard... quel traumatisme pour ceux-ci que de doucement collés, ils se retrouvent soudainement grands ouverts...ouch! ...et pire, aux risques et périls de les faire tomber de leurs orbites! Je ne pourrais jamais me le pardonner! Non, non, et non!
Comme je vous ai déjà mentionné dans une autre missive, votre santé me tient à cœur... Donc, je continue de maintenir la porte de la censure entre-ouverte, vous évitant les rhumes causés par les nombreux courants d'airs indécents et par le fait même, épargnant vos pauvres yeux... et ce, sans parler du choc, peut-être irrémédiable, que mes divagations risqueraient d'occasioner à votre charmante personne.... La raison avant la passion: votre santé est plus importante que ma lasciveté! ... (Je commence à croire que c'est moi le docteur!)... (Voulez-vous que je vous examine? ;))
Sur une note plus raisonable, dans le sens de moins passionnelle, je vous remercie également de votre généreux temps, ainsi que de votre génie littéraire sans bornes. Je suis sincèrement touchée. Ai-je besoin d'ajouter à quel point j'adore vous lire mon cher ami? Non, je ne crois pas, puisque mes hésitations et mes “trois petits points” parlent pour moi.
Il peut y avoir beaucoup d'idées cachées dans un non-dit...
...que l'on cache par crainte de se faire dire-non ;) ...
Je mourrais de honte si vouz finissiez par me dire: “non, là, tu exagères” !!! ...
... J'exagère?
...xxx
Trois??? ... Ah! là j'exagère ;) ... Tiens! ... xx
Gggrrrrrrrrrrrrrrrrr
Grrrrrrrrrrrrrr..... ;o)
Hyper activité, ou l'art de la détente....
Passionnant une vie de fascinations bien rempli... me voilà rendu satisfait dans cet état végétatif ou le summum de l'accomplissement... Ahhhhhhhhhh!!!
J'ai tant de fois pensée à vous... J'ai tant de fois voulu vous écrire... Et aujourd'hui je freine pour un instant cette course effrénée pour faire une douce jambette au quotidien… Pour concrétiser cette tendre pensée qui souvent vous accompagne… Je relis encore et encore avec cette délectation sans précédent; «le chaos s'empare de moi; mon cœur s'agite, mon âme s'embrase, mes sens se réveillent, mon esprit phantasme... (Docteur, examinez-moi ;)) !!!»
Oh oui!!! Et je pressens que vous arrivez à ressentir mon sourire dégustateur… celui qui naît chaque fois sur mon visage dans le plaisir de faire votre lecture… Je ne sais encore que dire… quoi exprimer… sinon me vautrer dans cette brise caressante de votre présence si réconfortante… Je m’y attentionne sans crier gare!!! Et puis, la suite dans mes idées fait la file indienne sans trouver le chef directeur de la rédaction… Je suis là dans ma maladresse à vouloir vous écrire… à tant espérer vous rendre une infime parcelle de votre si agréable générosité nourrissante… je suis excité… comme un jeune précoce, incapable de retenue…
J’ignore si je me fais coq ou âne… avec ma carotte pendue au bout du nez… comme une bille de stylo qui dégouline abstraitement des gâchis fabuleux!!! Je voudrais vous faire de l’effet… je souhaiterais vous en mettre plein la vue… J’aimerais encore une fois vous transporter au-delà de l’indicible… comme s’il me fallait me réchauffer quelque part avant de perdre tout sens de la réflexion et entrer sinueusement dans la subtilité spontanée… Je ne cesse de penser à vous… Je ne cesse d’éprouver cette envie de vous faire la cours d’école buissonnière… de vous montrer mes parties saugrenues… pendant que vous oser me faire voir les vôtres empreint de sentimentalité frissonnante….
Je retourne à mes plus invraisemblables souvenirs; «Vos paroles sont d'habiles flèches, divinement empoisonnées, elles m'atteignent dans leur totalité, dans ma totalité; cœur, âme, sens et esprit... mon être tout entier se retrouve transpercé... (Docteur, là c'est grave, “je saigne”, examinez-moi ;))!!! Et c’est alors que je ne cesse de fondre au soleil de vos plus élégants malaises sanguinaires… Je fouille mon guide pratique de l’anatomophysiologique pour tenter d’y trouver un remède parfaitement adapté aux légers malaises qui semblent vous affubler… J’ai des pensées qui m’assaillent à vous traiter d’une certaine façon… en prenant le mal par derrière… sans avertissement… en usant de l’effet surprise dans une diversion hypocondriaque!!!
Je dois encore réfléchir… possiblement consulter mes confrères de doctrine… élucider les champs d’action diverse à un bon traitement parfaitement adapté à votre situation contagieuse… J’ignore ce qui s’empare de moi pour éprouver ainsi un embrouillement total d’une réflexion judicieuse… Je ne comprends d’aucune façon ces étourdissements qui s’empreignent de moi dans la voltige et la démesure…
Rien pour aider; «Sachez que ce n'est point de la limite dont je suis éprise, ni la retenue que je courtise et encore moins la censure qui m'envoûte...
... ;)» …Je ne peux me retenir à saliver devant de telles phrases… si bien concoctées… devant une musicalité si sublime et envoûtante à la fois…
Vous m’enchanté belle brigadière… vous me faîtes rêver… vous me comblez d’une bien agréable manière… les mots me manquent pour verbaliser ma reconnaissance… pour vous faire la grâce des effets sublime que votre langue puisse produire sur ma simple personne… ;o) … et encore… …
Et puis vous avez mis en conserve votre rhubarbe confiturée???
J’ose vous retrouver bientôt quelque part dans un autre lieu imaginaire pour me laisser aller encore avec votre douce et tendre présence… pour me dévêtir la pensée… pour laisser danser mes idées farfelues… et vous offrir tendrement mon âme toute nue… que vous savez si bien mettre en confiance… merci de m’offrir chaque fois cet espace d’étalement équestre littéraire ou j’ose gambader dans une complicité inestimable….
Pffffffffffrfrfrfrrfrfrfrfrfrfbbb!!!!
Je vous fais la bise… bien entendu!!! Xxx
Bonne fête très chère madame Paquin!!! Mon idylle littéraire... ;o) xxx Grrrrrr...
J'ai honte. Je ne suis pas venu une fois sur le blogue en 2009. J'avoue que je pensais qu'il n'y avait plus d'action.... Wow! de voir que quelques uns ont mis des commentaires... Je reviendrai tout lire ca à tête reposée...
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